Vouloir réduire son impact est l’échec ultime de l’imagination (Bill McDonough)

L’espèce humaine est-elle intrinsèquement mauvaise au point qu’il faille réduire son impact, voire sa population ?

C’est ce que pensent certains d’entre nous, mais l’objet de ce post n’est pas de trancher ce débat tant il est lié à des conceptions éthico-philosophiques extrêmement personnelles.

La philosophie de Bill McDonough est plutôt de nous inviter à revoir notre vision des choses, à changer de paradigme. Par exemple, la biomasse des fourmis est 4 fois supérieure à celle des humains. Donc ce n’est pas le nombre qui compte mais plutôt notre capacité à avoir un impact positif à travers nos créations.

Dans l’immobilier, nous construisons majoritairement des bâtiments qui seront source de déchets (70% du volume français), de CO2 (26% pour l’usage seul) et gros consommateurs de matières premières (35%).

Mais nous pouvons concevoir des bâtiments « banques de matériaux », faciles à démonter, avec des produits non-toxiques et circulaires qui intègreront un cycle biologique ou technique en fin d’usage, et qui seront source de revenus pour les propriétaires plutôt que de déchets.

C’est pour cela que nous avons imaginé myUpcyclea, pour sélectionner les meilleurs produits, mesurer les impacts environnementaux et économiques, et générer des écosystèmes de réemploi/upcyclage.

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